Prochains rendez-vous

Carte blanche à la Cie Les Asphodèles du Colibri

Pass 2 soirs :
Le Quatrième mur (04/04) & Le Village de l’Allemand (05/04)
20 €, 15 € (abonné), 8 € (réduit)

La Saison Sud-Hérault invite la compagnie lyonnaise Les Asphodèles du Colibri pour une semaine carte blanche ! Après plusieurs jours de rencontres et d’ateliers artistiques sur le territoire, la compagnie présentera lors de cette première soirée la pièce Le Quatrième mur, qui avait bouleversé le public en 2019. L’occasion de (re)découvrir le texte puissant de Sorj Chalandon.

Samuel Akounis est un metteur en scène grec et juif en exil en France. Il a une idée aussi belle qu’utopique : monter la pièce Antigone à Beyrouth, dans un Liban déchiré par la guerre. Il veut rassembler sur scène, le temps d’une trêve poétique, des comédiens issus de chaque camp.C’est Georges, un jeune metteur en scène français militant, qui par amitié pour Samuel ira réaliser ce projet fou. Parti en terre étrangère, c’est son propre monde, ses réalités, son quotidien, ses certitudes qui vont être amenés à voyager hors de leurs frontières. Puisant dans l’art de la commedia dell’arte, du human beatbox et de la danse hip-hop, Le Quatrième mur fait éclore un univers poétique et sensible, qui est aussi une fenêtre ouverte sur le monde. Une pièce bouleversante portée avec fougue, à voir absolument !

Tout public dès 14 ans. Tarifs 12 € / 8 € (abonné) / 5 € (réduit)

Pour cette deuxième soirée carte blanche, la compagnie Les Asphodèles du Colibri présente sa nouvelle création Le Village de l’Allemand, adaptée du roman de Boualem Sansal. Un texte puissant comme un combat contre l’oubli, l’amnésie et le négationnisme, pour laisser la place à la transmission de la mémoire.

À l’origine il s’agit d’un roman bouleversant, d’une extrême densité, de l’écrivain algérien Boualem Sansal, publié en 2008 et récompensé par de nombreux prix littéraires. Inspiré d’une histoire vraie, celle d’un lieu surnommé « Le Village de l’Allemand », il raconte l’histoire de Rachel et Malrich, deux frères nés d’une mère algérienne et d’un père allemand.

En 1994, le GIA massacre une partie de la population du bourg d’Aïn Deb, près de Sétif, où vivent leurs parents. Pour les deux fils, le deuil va se doubler d’une douleur bien plus atroce : la révélation de ce que fut leur père, cet Allemand qui jouissait du titre prestigieux de moudjahid…

Explorant avec force le rapport à l’identité, à l’héritage et à la responsabilité, Le Village de l’Allemand pose une question centrale : « Sommes-nous comptables des crimes de nos parents ? »

> Billetterie

 

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